Insolite : Daniel Craig porte une… MoonSwatch lors d’un gala à New York

Voici une actualité plutôt légère pour débuter l’année 2023. S’il est rare que nous parlions sur Mr Montre des garde-temps portés par des célébrités (comme le dossier sur les montres préférées des présidents), nous avons trouvé insolite le choix de la montre portée par Daniel Craig, l’un des James Bond au cinéma, à l’occasion du gala de la National Board of Review qui récompense à New York les meilleurs films de l’année.

Un gala qui récompense les meilleurs films

Si l’acteur Daniel Craig avait porté cette montre dans un autre contexte (paparazzade notamment), nous n’en aurions sans doute jamais parlé. Mais le NBR, ou National Board of Review, n’est pas un événement comme les autres. Il décerne en effet chaque année les National Board of Review Awards (NBR Awards) qui récompensent les meilleurs films de l’année.

Et si le dernier James Bond nous avait jusque là habitué à arborer fièrement en public des montres Omega, dont les Seamaster Diver, en édition spéciale aux couleurs de l’espion de sa Majesté, force est de constater que la donne est différente pour l’édition 2023 des NBR qui a mis en avant (entre autres) le film Glass Onion : Une histoire à couteaux tirés sorti en 2022 et dans lequel il incarne le personnage principal.

Ironie du sort, Daniel Craig porte une Seamaster 1948 d’Omega dans Glass Onion.

Omega Seamaster 1948 : une montre facturée 7 700 € vs 250 € pour la MoonSwatch Mission to Netpune

Une MoonSwatch Mission to Neptune

Quelle est donc cette montre si atypique que portait à ce gala Daniel Craig ? Il s’agit d’une MoonSwatch, dans son édition Mission to Neptune, avec son cadran bleu et noir. Une montre facturée 250 € vs 7 700 € pour la Seamaster 1948.

Rappelons que l’acteur est l’un des ambassadeurs d’Omega, qui fait également partie du groupe Swatch. D’où la possibilité pour lui de porter également des montres plus accessibles comme la MoonSwatch… qui décidément ne « meurt jamais ». Même si pénurie oblige, il faut croire que « acheter peut attendre ».